Abrégé : Homme de petite taille titulaire d'un diplôme universitaire (abrégé ès lettres, abrégé ès science, etc.)

Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied !

C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy.

Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise.

Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane.

Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001.

Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford.

Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson.

Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques.

Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda.

Mieux que la liberté.

Mieux que la vie...

..Jeux d'enfants 

Il y a.
Ou plutôt il y avait.
Il y avait midi qui sonnait à l'horloge du quartier,
Et ceux qui vivaient sur les pavés, le soir aprés l'école.
Il y avait le temps, et les gens qui se croisaient.
Il y avait tous les matins du monde , et toi.
Quelqu'un avait éteint la lumière du soleil.
Il y avait cette porte , qui grince , et le feu dans la cheminée.
Il y avait dans le parc , des arbres qui jouaient avec le vent ,
et les rires des enfants.
Et le soleil se couche, et puis il se lève, et ça recommence.
Il y avait cette poussière de soleil, qui filtrait à travers les fenêtres.
Il y a quelqu'un qui pleurera , mais tu ne le sais pas.
Il y a cette odeur de café, toujours , même lorsque le temps s'enfuit.
Il y avait tes yeux, et mon âme qui se déversait dans le décor.
 La pluie.
Il y avait ce bonjour , posé sur le paillasson.
Et cette porte qui claque, et dont l'écho résonne encore dans mes pas.
il y avait et il y a toujours des milliers de pas tracés sur l'asphalte,
Et des milliers de sourires qui s'envolent vers le ciel.
Et les étoiles dans nos yeux.
Il y avait le parfum d'une dernière cigarette.
Et le froid qui s'insinuait dans nos esprits.
Il y avait encore la chaleur de nos corps
imprimée sur les draps.
Il y avait le vieux, qui fumait sa pipe au coin d'une rue.
Il y avait des ballons qui s'envolaient vers les nuages.
Il  avait des sourires et des rencontres.
Il y avait les couleurs de l'aube, ou du crépuscule.
Je ne sais plus.
Il y a toujours les arbres, dans le parc ,
 Et ils jouent les nurses en berçant les poussettes de leurs songes venteux.
Ensuite ?
Ensuite, je ne sais pas, tu as fermé la porte.

Tout l'absolu d'un vent d'automne ;
Et l'amour ce grain qui frissonne
Transperce la buée de mon coeur solitaire
En lui rappelant les baisers d'hier.

Les sanglots longs ah cher Verlaine
Ne sont que des violons et fumées que l'on traîne
Sur la corde de quelques rimes arrangées

Et pourtant , encore , je rêvais...

les riffs endiablés de Van hallen, les mélodies enivrantes de massive attack, les mouvements intenses d'une symphonie de Mozart,l'espièglerie de Cocoon ,l'univers de bjork ,la voix de Janis joplin, le piano de Yann tiersen , la legereté de Hooverphonic la sensualité d'un bon morceau de jazz, le grandiose de Queen ,le rock d'Elvis et le rythme de Ray charles ,le rythme du reggae, les déchainements d'un bon vieux morceaux des rolling stones, la nostalgie des beatles, le swing Caravan palace, le soleil de Bob Marley, les paroles de brassens et d'aznavour, les poèmes de brel, le déclic polnareff, l'ennivrement de tricky , la fièvre des Doors, les percus d'Hilight Tribe, le délire de prodigy, le tempo des Puppetsmastaz ,le sombre de Tom waits....

sans musique on ne vit pas, on survit....

Je bois du café trop sucré , et du coca frais au réveil quand j'ai trop bu la veille.Je suis anti Mac (pas d'Iphone, pas d'Ipod, no way!). Je suis accroc aux séries et aux nouvelles technologies . J'adore le rouge mais je n'en porte jamais. Ma couleur préférée est le bleu .Mes fleurs préférées sont les lys , suivies du lila. J'aime les arbres. Je me désinteresse (presque) completement de l'actualité parce que ça me déprime. Je deteste le mauvais wisky, et je suis accroc au rhum. Je hais le matin. J'ai peur du noir, et de l'oubli. J'ai une passion anormale pour les vampires ,les musiciens  et les livres. Je connais des acnecdotes en pagaille sur des morceaux de musique et je suis passionnée par l'Histoire. Je deviens rapidement folle, mais ça tout le monde le sait . J'ai une soeur.Je prends des photos de tout et de rien. Mon mot préféré c'est Vertige. Ou apocatastase . Et je ne sais pas prononcer le mot bouilloire correctement. Je n'ai jamais assez de confiance en moi. Je fond dès que j'entend un homme chanter et jouer de la guitare , c'est mon côté groupie .J"envoie des textos qui mettent ma dignité en jeu dix fois par semaine .Je suis la fille la moins zen du monde.Sûrement la plus speed. Je sais jouer du piano. La musique me fascine.  Je suis une véritable cinéphile , mordue du cinéma .Je me demande souvent à quoi peut ressembler l'infini.Je deteste quand il fait moche (dieu merci j'habite à Toulon). Je découpe mes fringues régulierement. Je ne supporte pas les tshirt , je les agrandit pour qu'ils tombent sur mes épaules, c'est plus rock'nroll. Je deteste qu'on me touche le nez, et le mot fascicule.J'aime sentir le vent sur mon visage dans un bateau, faire des cercles avec la fumée de la chicha, enflammer mes bolas, écrire à la plume, taper sur un clavier, entendre le son d'un piano, l'odeur du feu de bois, l'escalade, flotter dans l'eau, le bruit de la pluie contre la fenêtre, la voix sensuelle d'un homme, les sports à sensations fortes, la musique sur mon mp3, le goût d'une bière, l'amertume d'un bon thé, peindre, dessiner, écrire, tourner trés vite, les images que j'imprime sur ma rétine, imaginer, sentir la chaleur du radiateur dans mon dos, le bruit de la neige sous mes skis, parler blablater , lire, rire, l'impossible, les rêves, penser, écrire, voyager, rencontrer des gens différents, l'apprentissage, l'enseignement, les sports, les arts, la littérature,  Et pour conclure, j'adore vous raconter ma vie parce que je n'ai vraiment rien d'autre à faire, et apparemment vous non plus ..

« C'est mieux qu'on ne fasse pas l'amour parce que, vu ta sensualité fougueuse, je sens que ça aurait été extrêmement agréable et donc on aurait adoré baiser, on l'aurait fait tout le temps en hurlant et on aurait eu tellement de plaisir qu'on aurait risqué d'être heureux et alors là ça aurait été vraiment la merde. »

"C’est quoi ce bordel avec l’amour là ? Comment ça se fait qu’on devient dingue à ce point ? T’imagine le temps qu’on passe à s’prendre la tête la-dessus ?

Quand t’es seule tu te plains: est-ce que je vais trouver quelqu’un ? Quand t’as quelqu’un: est-ce que c’est la bonne ? Est-ce que je l’aime vraiment et est-ce qu’elle m’aime autant que moi je l’aime ? Est-ce qu’on peut aimer plusieurs personnes dans sa vie ? Pourquoi on se sépare ? Est-ce qu’on peut réparer les chose quand ça part en couille ? Toutes ces questions à la con qu’on se pose tout le temps ! ... Pourtant on peut pas dire qu’on y connaît rien ! On est préparé putain : quand on est petit on lit des livres d’amours, on lit des contes, on lit des histoires d’amours, on voit des films d’amour ! L’amour, l’amour, l’amour !"

"Plus il aspire vers l'altitude et la lumière, plus puissamment ses racines s'effoncent vers le sol,

vers le bas, vers le sombre, vers le profond - vers le mal"

Nietzsche (Ainsi Parlait Zarathoustra, I,

"De l'arbre sur la montagne"